The Musicians Illusionists
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 L'histoire du clan

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MessageSujet: L'histoire du clan   L'histoire du clan EmptyMar 1 Mar - 1:03

Prologue: La nature humaine

Depuis que j'existe ou du moins depuis que j'ai pris conscience et que je commençais à avoir mes propres pensées, j’avais commencé par observer ce qui m'entoure. Au début j'ai commencé à étudier géographiquement les choses naturelles, j'arrivais à une conclusion peu enrichissante, car les choses de la nature sont très mystérieuses, mais le plus souvent je remarque que ces choses étaient pures et nous aides à vivre. Après cette expérience je m'intéressais aux autres choses qui m'entouraient, cette fois ma nouvelle cible était les hommes. Pendant des années et des années j'ai étudié les hommes et leurs comportements, pour tout vous dire aujourd'hui encore je l'étudie. Même si je n’ai pas de réponse finale je conclus une chose des humains. Pour moi la majorité des humains ne sont sources que de problèmes dans ce monde magnifique, ce sont des barbares, égoïstes, ingrat, égocentriques (bref vous voyez le genre). Les humains savent plus détruire que créer. Malgré cela, ils sont intelligents mais malheureusement, la majorité est mauvaise, car dès lors où on est généreux on est pris pour un fou. Entre ces deux groupes se trouvent les gens les plus extraordinaires le plus souvent ce sont des gens les plus intelligents de cette planète qu'on nomme la terre.



Chapitre I : Mon enfance

Née dans les années 1917, j'ai vu passer de nombreuses guerres, j'ai vu des milliers et de milliers de personnes innocentes mourir et j'ai même déjà vu des proches mourir. La première fois où j'ai approché la mort fût bien assez tôt, pour être plus précis le jour de mes cinq ans. Même si j'étais encore assez jeune, je me souviens encore de ce terrible jour qui me fait tant haïr les hommes. Ce jour-là j'avais tous perdu, mes amis ainsi que ma précieuse famille. Je ne vais pas trop rentrer dans les détails avec cette histoire morbide et barbare, pourtant je vais vous raconter la cause de toute cette histoire. Cette histoire a commencé à cause d'un conflit entre deux villages voisins et comme les deux villages étaient dans la liste rouge question financiers, ils avaient besoin de plus de terres pour pouvoir vivre et faire du commerce avec d'autres villes. Sans vraiment hésiter les deux villages se sont déclarés la guerre pour chacun c'était quitte ou double. Malheureusement mon petit village se trouvait au milieu des deux autres. Plus leur guerre s'intensifiait plus il se rapprochait du village et un jour quand la guerre atteint son paroxysme, mon village fût pris en sandwich par les deux armées. Aujourd’hui je ne peux certifier qu'il y a eu d'autres chanceux comme moi qui y avais échappé. Une fois que j'avais quitté le village de justesse je commençais à vagabonder. Pendant une semaine je n'avais rien mangé ni rien bue, je finis par mendié. Devant ces milliers et de milliers de personnes qui passaient je pourrai dire que seulement deux cents ont été prêt à me donner une petite chose à manger, à boire et un peu d'argent. À cet âge je ne m'intéressais pas aux humains, mais aux choses naturelles. Une fois que j'avais récolté un peu d'argent je partis à nouveau dans l'inconnue en cherchant un chez moi. Je vagabondais pendants encore environ trois mois à chaque fois que je n'avais rien à me mettre sous la dent je commençai à mendié, au fil du temps j'ai acquis une technique bien pratique. Mais un jour alors que je travaillais (mendiais) une femme vînt vers moi et me voyant assez jeune, elle me questionna sur ma vie, je lui répondis assez honnêtement. C’est alors qu'elle m'emmena avec elle dans une voiture. La première chose que je remarquai chez elle fût sa beauté et elle ne semblait pas très pauvre quand je voyais les colliers et ces habits éblouissants. Après une bonne heure dans la voiture elle m'emmena chez un marchand pour m'acheter des habits, car ce que je portais à ce moment-là était d'une puanteur incroyable. Après toutes ces gâteries je fis connaissance avec elle pour moi c'était une personne agréable, généreuse et sympathique. À la fin de la journée elle m'emmène chez elle. Elle n'habitait pas une petite piaule d'ailleurs c'était la première fois que je voyais une maison aussi grande, ce n’était même pas une maison c'était plutôt un château. Quand nous entrâmes dans l'enceinte du chanteau, la grande dame me demanda en murmurant mon prénom de suite je lui réponds "Naru madame". D'un petit sourire la dame me dit "Naru à partir de maintenant tout ce qui m'appartient, t'appartiendra". J'étais très heureux d'entendre et de voir une personne aussi généreuse, mais une chose me gênait, on peut croire qu'il y a des gens généreux, mais pas à ce point et je me disais que derrière tout ça se cache une chose. Cette grande femme avait un mari, cet homme n'était pas vraiment comme elle, il passa toute la journée dans son bureau. Il n’était pas le genre "méchant" mais c'était le genre à rigoler. Chaque jour, qui passait je m'attendais toujours aux compromis de leurs gentillesse pourtant rien ne se passa même si le marie ne m'apprécie pas trop. À cette époque j'avais commencé la musique, pour moi c'était une vraie passion. Mon instrument était la flute traversière, elle qui m'avait appris cet art était cette dame qui m'avait recueilli quand je considère aujourd'hui comme une mère. Bien sûr le grand homme d'affaires que je considérais comme mon père n'était pas très content de me voir perdre autant de temps là-dessus. Moi qui avait toujours aimé la nature et faire des expériences j'étais comblé, grâce aux richesses de ma nouvelle famille et les études que je faisais je comprenais mieux les choses. Ce qui rendait mon nouveau père si fiers de moi, c’était mon amour pour les recherches et pour m'a facilité à comprendre les choses. Même si je n’étais pas un grand partisan de travail, il avait déjà projeté de faire de moi son héritier dans son empire industriel. Ma nouvelle mère elle aimait surtout chez moi mon envie de vivre et ma volonté à faire les choses. Pendant plus de dix ans depuis qu’ils m’ont recueillis ma vie était devenue un paradis, j'étais heureux, sans aucun soucis d'argent ni rien et j'avais des parents qui étaient tous les deux fiers de moi et qui me soutenaient dans tout ce que j'entreprenais.

Chapitre II : Vivre dans la richesse ou dans sa passion

Comme je l'ai dit dix ans ont passé. À cette époque j'avais quinze ans environ. Cette année-là fus l'une des pires de toute ma vie. J’essayais toujours d'avoir le même rythme de vie de façon à rendre heureux mes parents. Mais je savais qu'un jour je devais choisir et me consacrer entièrement à une de mes deux passions qui étaient les études et la musique, car je savais que ce rythme de vie n'allait pas durer pas indéfiniment. Malheureusement la nature a choisi toute seule mon destin. Peu après mon anniversaire ma mère tomba gravement malade, puis quelques semaines plus tard elle finit par décéder malgré les spécialistes payés par mon père. Peu après mon père finit dans la dépression, il devient violent avec son entourage. Un jour il finit par ce suicidé. Vu que les deux n'avaient pas d’enfant biologique je finis par hériter de leurs biens. Pour tous ceux qu'ils avaient fait pour moi je me devais de les succéder en les honorant et pour les milliers d'employés qui avaient leur vie dans mes mains. À l'âge de quinze ans je commençai les affaires au début je ne comprenais pas grand chose et ma société courait à sa perte. Jusqu’au jour où en rangeant le bureau de mon père, je retrouvais une lettre de mon père. Cette lettre disait : "cher Naru, aujourd'hui je projette de finir ma vie, depuis le départ de ta mère je n'arrive plus rien à faire. Chaque jour, qui passe sans elle était toujours pire que le dernier. Aujourd’hui mon désespoir est à son paroxysme, je n'arrive plus rien à gérer mon entreprise ni même toi. En ce moment je deviens violent, heureusement que je m'en rends compte avant de t'avoir blessée. Dire qu’au début je trouvais ta mère complètement givrée de t'avoir recueilli à cause de ta ressemblance avec notre pauvre fils décédé. Mais bon tu m’as prouvé que j'avais tort grâce à ton intelligence. Dommage que je n'ai pas su profité de ta joie de vivre plus longtemps. Je te laisse avec beaucoup de travail, je sais que ça va être dure, mais si tu ne te sens pas capable laisse ou tu n'as pas l'envie tombée le travail, pour pas faire la même erreur que moi. Vis ta vie comme tu le sens ne laisse pas l'argent entravé tes projets". Après avoir lu toute cette lettre je finis par tomber en larmes. Pour la première fois de ma vie je commençai à avoir le monde d’un autre angle que "les malheurs". Mon but dans la vie était de devenir un musicien qui voyageait de ville pour découvrir ce monde et ses habitants. Avant de partir pour éviter de mettre à la porte des gens, je prévins le frère de mon père de sa mort et que je renonçai à l'héritage. Après lui avoir annoncé l'histoire mon cousin fut heureux de voir les richesses de son père augmenté et me prenait pour un fou, je partis en ignorant ces paroles.
Et c'est ainsi qu'à quinze ans je suis devenue un musicien, vagabond et scientifique aussi.

Chapitre III : Trahisons

Je vivais ma vie pleinement, mes voyages étaient tous aussi extraordinaires les uns comme les autres. Je me sentais libre comme l'aire. Quand il m'arrivait de passer dans une forêt à côté d'un fleuve, je me sentais toujours obligé de prendre un peu de temps, écouter les douce chansons de la forêt, combinée au ruissellement des fleuves qui me berçaient, avec un léger vent qui caressait mes cheveux et mon visage et avec un petit feu de camp qui me rechaussait le cœur (bref vous voyez c'est un de ces moments magiques)... Mais bon des fois les expéditions n'étaient pas toujours aussi paradisiaques, au début de mes aventures il m'arrivait de me faire attaquer par des bandits. Le plus souvent ils ne voulaient pas faire mal, mais par désespoir de leur vie due à mon avis à des problèmes d'argent. Au début je ne savais pas comment les repoussés, pour tous vous dire je n’étais pas le petit grand blindé de table de chocolat au contraire. Pendant plus de deux ans, quand je voyais de types suspects, je commençai toujours à courir. Puis j'ai eu une idée, c'était une idée folle, mais je voulais quand même essayé. L’idée consistait à faire de ma flute une arme, mais pas n'importe quelle arme qui peut blesser. Comme je ne voulais pas me rabaisser à blesser ou à tuer quelqu’un. Je n'allais en aucun cas modifier ma flute. Dans ce monde beaucoup de gens utilisent la musique comme moyen pour se détendre en écoutant des mélodies douces. Mon idée était de combattre avec le son. Je commençais d'abord par apprendre des berceuses, pour faire endormir mes ennemis. Au fur et à mesure j'améliorai l'œuvre de certain, pour que l'effet soit direct. Au fur et à mesure j'allais plus loin, jusqu'à atteindre un niveau où j'arrivais à créer des illusions. Au début j'avais commencé à faire tout ça pour me défendre, mais avec le temps je commençai à m'attaquer à des personnes recherchées. J’étais devenue un chasseur de prime, bien-sur moi je ne les tuais jamais. Après mon rôle de chasseur de prime je m'impliquais plus à aider les autres en les débarrassant des barbares armée jusqu'aux dents. En voyant mes actions petites à petits des gens se ralliaient à ma cause, j'étais populaire et aimé de tous. Au début je comptais tout abandonner, mais cette popularité me donnait la grosse tête. En faisant des recherches des personnes avaient découvert mon histoire du moins une partie grâce à mon oncle. Les gens finirent par m'appeler Naru040 aux vues de mon titre assez noble en découvrant que mon père fut les trente-neuf descendants de la famille. Je faisais des milliers et de milliers d'alliés par la suite c'était devenu une armée. Malheureusement j'avais eu trop d'ambitions, moi qui voulais être libre comme l'aire finit encore dans un bureau et moi qui voulait blesser personne, finit par en tuer. Même si les gens sont mauvais il ne mérite pas moins de périr et tout parce que je n'arrivais plus à gérer tout le monde. Pour remédier à ces problèmes j'avais nommé des généraux qui me semblaient dignes de confiance. Et pendant des années mon armée fut le plus grand de tous et le taux de criminalité baissais considérablement grâce à nous. Au fil de nos réunions mes généraux devinrent mes amis, puis je finis par me considérer comme ma famille. Mais tout le monde sait que les belles histoires sont rares ou ne dure pas trop longtemps malheureusement. La fin de mon armée fut en 1939, mon armée a perdu beaucoup de membres, beaucoup de conflit règne. Mon père biologique m'avait qu'avant ma naissance, une terrible guerre c'était arrêté, dû à un soif de pouvoir des humains. Dans ma vie c'était la première fois que je voyais cette tension, je savais qu'une grande guerre allait commencer. Tout le monde le sentait, très vite j'avais organisé une réunion avec mes généraux. À la fin de la réunion ça c'est terminé en un vote, moi je voulais essayer que tous les pays s'arrangent pour discuter mais, en face de moi Tyu qui était mon bras droit. Tyu proposa une chose que je n'aurai jamais imaginé de lui son idée était de participer à cette guerre et prendre le contrôle du monde. Dans la salle de réunion la tension monte, moi qui avais rue en mes généraux, j'étais tomé de très hauts en voyant la majorité d'accord avec Tyu. Deux de mes hommes étaient restés avec moi jusqu'à la fin. En voyant les deux d'accord avec moi Tyu n'hésita pas une seconde à les tuer. Devant tous mes ex généraux il se proclama le nouveau chef. Dans ma tête tout ce mélangeait, mon cœur allait exploser et c'était comme si dans ma gorge il y avait une boule qui me faisait atrocement mal. Sans vraiment réfléchir je dis à Tyu que j'allais le tuer. Avec un rire machiavélique il vient vers moi, aidé des autres il me plante un couteau. Allongé sur la terre je les regarde partir et je commençais à mourir à petit feu. Pourtant, je ne voulais pas mourir le cœur plein de haine, j'essayais de résister à la mort. Mon corps ne pouvait plus bouger, mais esprit ne voulais pas lâcher le morceau. Je commençais d'abord à bouger le pied, puis j'arrivais à me lever. Je sortis de la salle de réunion, je marchai lentement et mes yeux voyaient très flou dû à mes larmes. Je marchais pendants dix minutes (qui ressemblait à ce moment deux semaines) et j'arrivai dans une forêt à côté d'un fleuve. Je regardais ce paysage avec nostalgie. Je continuais à marcher, mais cette fois j'arrivais plus à avancer, mon esprit lâcha petit à petit et le dernier souvenir que j'avais c'est que j'étais tombé dans l'eau.

Chapitre IV: Nouvelle ère

Je commence à ouvrir les yeux et la première question que je me posais "est-ce que je suis mort".
Je trouvais les environs très bruyants et j'avais l'impression de voir les choses en grands. Et puis je me suis dit "je suis mort et le paradis ressemble à ça, bizarre sa ressemble à l'autre monde. Après une bonne marche j'arrive dans une ville, pour moi c'était du jamais vue. Il y avait des voitures, des maisons énormes (immeubles) aussi énorme que mon château voir plus. À mon époque il y avait aussi des voitures mais bon aussi magnifique c'est alors que je commençai à me "le paradis est aussi technologique». Après avoir fait le tour de la ville j'avais des choses qui étaient pour moi fantastique. Mais bien vite je me suis rendu compte que ce n’était pas le paradis loin de là. J’ai découvert cela en allant dans un magasin, j'avais un peu alors j'ai acheté des choses bizarres que je ne connaissais pas mais, qui m'avait l'air appétissant. J’arrive devant le bon marchand et au moment où je sortis mon argent il rigola, au début je ne comprenais pas mais, un coup d'œil sur la caisse ma suffit pour comprendre que l'argent que j'avais et que je voyais n'étais pas pareille. Je suis retourné ce que j'avais pris et là je vois un journal. Je lis et je vois que ça parle d'environnement et toute la patatras, je pose et là je vois une date. Il la date était le 3 janvier 2010, à cet instant je ne croyais pas mes yeux. Je sortis du magasin complètement déprimé des tas de questions étaient dans ma tête, la question principale était « pourquoi je ne suis pas mort et comment j'ai survécu». Je retournai au fleuve pour voir si ma précieuse flute n'y était pas. J'arrive je commence à chercher rien au bord, je viens plus près du fleuve et là pour la deuxième fois de la journée je n'y croyais pas mes yeux. L’eau donnait un reflet comme un miroir et dans le reflet je me voyais le seul problème c'est que j'avais la même taille et le même visage que quand j'avais treize ans. C'était vraiment bizarre je ne comprenais rien à rien, mais là n'étais pas l'urgence, je voulais retrouver le seul souvenir de mes parents ou plutôt le seul souvenir de mon temps. Après avoir passé plus de deux heures de recherche je finis par arriver dans l'eau. Je dans l'eau je ne trouvais rien non plus, au moment où j'allais partir, une chose dans l'eau finit par attirer mon intention. Cette chose était lumineuse, je plongeai pour voir de plus près. J’arrive toute aux fonds, je ressentais une sensation bizarre parcourait mon corps, je pris la chose qui brillait. Cette chose était belle et bien ma flute, mais une chose clochait. Je me disais que si la flue était restée sous l'eau aussi longtemps, il devait être rouillé ou un truc du genre mais, là il y avait rien. J’ai pris la flute et je suis sorti de l'eau. Je suis allé à la ville et je cherchais un endroit où logé la nuit, sur le chemin j'avais vu l'adresse d’un orphelinat. Je ne connaissais rien de la ville, mais je demandais le chemin à chaque coin de rue. Tard la nuit j'arrivai à l'orphelinat, tout de suite les employés qui y vivaient m’avaient trouvé une chambre. Ce jour-là je dormais paisiblement comme un bébé.
Le lendemain, j'eus une discussion avec les responsables de l'orphelinat, en sachant qu'il n’allait pas me croire. J'inventai une histoire vite fait. Pendants qu'il me questionnait dans l'affolement j'ai dit que je m'appelais Norax. Norax était en réalité le nom de mon cousin. Deux mois plus tard les gens de l'orphelinat m'avait inscrit à une école. J’étais vraiment pressé, car avec mon époque tout avait changé et je voulais connaitre cette époque et connaitre plus de choses sur l'ancien.
Après toutes ces évènements une nouvelle ère et une nouvelle vie s'offrait à moi.

Chapitre V : Conclusion

Dans cette nouvelle vie je n'avais pas ma liberté comme avant mais j'étais heureux de voir qu'on m'entourait et que j'avais de l'importance. Au début quand je m'étais rendu compte que j'étais en vie et quand je me suis rendu compte de la date, je n'avais pas pris cela comme une chance, mais comme une malédiction. Ma vie fut succession de malheurs, mais quand j'avais tout perdue je commençai à être heureux comme quoi l'argent en fait vraiment pas le bonheur. Mon but dans la vie était d'apporter la paix, mais plus le temps passe et une conclusion ce rajouté dans mon expérience "tant qu'il y aura des hommes il y aura toujours de guerre». Le mieux que nous pouvons encore faire est de protéger les non-combattants et laisser périr les gens qui se battent pour vivre. Ce qui m'a perdue, c'était mon ambition comme tous les hommes j'en voulais toujours plus or quand je l'avais je n'arrivai pas à me satisfaire. Malheureusement je n'ai pas su comprendre plus tôt. Un jour peut-être les guerres s'arrêteront, avec le temps d'autres hommes comprendront, mais en attendant ce temps je compte minimiser leurs victimes. La première fois que j'avais une équipe ou plutôt une armée je n'ai pas su gérer et je n'ai pas su prendre des gens de confiance, mais avec cette nouvelle ère je compte changer cela. Dans ma vie j'ai été le musicien illusionniste et dans mon ancienne vie c'était la seule chose avec mes recherches qui me passionnaient. Malheureusement l'ambition m'a aveuglé, la deuxième chose qui m'a aveuglé fut ma propre illusion. Cette illusion était mon envie de changer les hommes, j'ai voulu accélérer le destin, mais au contraire ça la ralentit (comme on dit lentement mais surement). Je n'ai pas vécu après la trahison de mes soi-disant compagnons qui étaient aveuglés par l'ambition et la cupidité. Aujourd'hui je ne peux rien changer du passé, mais je sais que pourrait changer l'avenir.
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